
Nikanor – Bizarre
Genoux à terre, non, mais j’suis tombé combien de fois ?
Est-ce que je dois compter ?
Non, quand on aime, on ne sait pas compter
Beaucoup d’opinions sur nous, méchants gentils, le temps nous dira
Mais ce que donne la main droite, la main gauche doit-elle le savoir
Mon frère fait du bien et n’attend en retour quelque chose que tu n’auras pas
Si l’orphelin a eu son repas, le manguier du village a servi de bois
Mais qui suis-je pour pouvoir juger (pauvre fou)
Qui est pour me pardonner (mes défauts)
Sur le chemin tout comme toi (je découvre)
Pourquoi tu m’en veux ?
Sur le chemin tout comme toi…
Qui est pour me pardonner (mes défauts)
Mais qui suis-je pour pouvoir juger (mon ennemi, mon frère d’hier)
Mon ami, les hommes sont bizarres
Quoi que tu leur fasses, c’est zéro
Tout est bien fait, tombes à l’eau
Et tes défauts, ton fardeau
Je te dis, les hommes sont bizarres
Quoi que tu leur fasses, c’est zéro
Tout est bien fait, tombes à l’eau
Et tes défauts, ton fardeau
Ah, ils sont bizarres, bizarres (bizarres)
Les hommes sont bizarres, bizarres (bizarres)
Les hommes sont bizarres, bizarres (bizarres)
Vraiment ils sont bizarres, bizarres (bizarres)
Ah, ils sont bizarres, bizarres (bizarres)
Les hommes sont bizarres, bizarres (bizarres)
Les hommes sont bizarres, bizarres (bizarres)
Vraiment ils sont bizarres, bizarres (bizarres)
Bizarres, bizarres (bizarres)
(Bizarres, bizarres, bizarrrrrrres, bizarres)
Ton changement me fait peur,
De remède t’es devenu ma douleur
Toi qui colorais ma vie jusqu’hier,
J’suis tout pâle et tu prends des couleurs
Mon père me disait souvent, c’est pas toujours, le plus faible qui fut le combat
Muri et n’oublie pas, pense au karma et pense à tes prières, …dans tes actes
Et mes yeux ont tout vues
Tout seul sur la rive, je reste debout
Le passeur n’entend plus mes cris
Qu’est-ce qu’on a à mener, qu’on va emporter
Vanité, des vanités
Pardonne-moi si je t’ai offensé
Mon ennemi, mon frère d’hier
Mon ami, les hommes sont bizarres
Quoi que tu leur fasses, c’est zéro
Tout est bien fait, tombes à l’eau
Et tes défauts, ton fardeau
Je te dis, les hommes sont bizarres
Quoi que tu leur fasses, c’est zéro
Tout est bien fait, tombes à l’eau
Et tes défauts, ton fardeau
Ah, ils sont bizarres, bizarres (bizarres)
Les hommes sont bizarres, bizarres (bizarres)
Les hommes sont bizarres, bizarres (bizarres)
Vraiment ils sont bizarres, bizarres (bizarres)
Ah, ils sont bizarres, bizarres (bizarres)
Les hommes sont bizarres, bizarres (bizarres)
Les hommes sont bizarres, bizarres (bizarres)
Vraiment ils sont bizarres, bizarres (bizarres)
Bizarres, bizarres (bizarres)